Prenons du bon temps...

Alice sursautait. Elle s'était assoupie et le réveil criait ! Il était 10 heures du matin. Elle allait être en retard à son rendez-vous. Elle s'était laissée inviter par la jeune femme rencontrée sur les quais auparavant. Une douche rapide, un brin de maquillage, une tenue sexy et la voilà partit. Sur la route, elle pensait encore au récit de sa soeur. Elle admirait son courage et la jalousait d'assouvir tant de plaisirs cachés. Ce n'est que devant la porte de l'immeuble qu'Alice prenait l'ampleur de ce qu'elle allait faire : elle ne se souvenait que du prénom de cette personne. Les récits de sa soeur l'avait elle contaminée au point de se retrouver chez une inconnue.
"Bonjour Alice, c'est au dernier étage."
L'immeuble était luxueux et l'ascenseur adéquate à des folies passagères ! Mary l'attendait à la porte. Elle était vêtue d'une courte jupe en jeans et d'un top qui ne cachait pas sa belle poitrine. Elle mis tout de suite très à l'aise Alice. Elle lui fit faire le tour de la demeure, une pièce par-ci, une autre par-là et finit par la salle de bain. Son homme se douchait. Sans aucun scrupule, Mary ouvrit le rideau de douche et fit les présentations. Enzo se trouva nu devant Alice, et un peu choqué par une telle surprise, eut un temps de réflexion avant de saluer Alice. Elle prit un malin plaisir à profiter de la situation pour admirer sa plastique. Mary avait décidément très bon goût !
Elle accompagna Alice sur la terrasse où trois chaises longues étaient installées au soleil. Au bout d'un moment Enzo apparut sur la terrasse, couvert d'une simple serviette de bain autour de la taille. Au passage, Mary lui attrapa les cuisses et fit tomber volontairement la serviette. Alice restait épatée par si peu de pudeur ! Mary ordonna à son homme d'aller chercher les cocktails et de revenir au garde à vous.
Alice flatta Mary pour tant de goût et de provocation. A son tour, Mary lui confia que c'était seulement pour le charme et la sensualité que dégageaient Alice qu'elle osait être aussi provocante. Enzo revint avec les cocktails et la verge bien raide. Apparemment le jeu de sa femme ne le laissait pas de marbre. En prenant le cocktail, Alice ne manqua pas d'effleurer la tige d'Enzo ! Il s'installa sur le transat en face d'elles. Mary lui ordonna alors de se branler pour elles. La situation excitait énormément Alice. Elle sentait sa chatte s'ouvrir et prête a s'offrir. D'un oeil coquin, elle fit passer le message à Mary qui n'hésita pas à se dévêtir de son tee-shirt. Alice la suivit. Elles étaient à présent les seins nus à s'exhiber pour exciter encore plus Enzo. Mary prit la main Alice, et elles s'approchaient de son homme. Enzo devait jouir sur la poitrine de ces dames. Il ne tarda pas à se décharger sur elles. Mary ne le laissa pas pour autant débander. Elle se mit à le sucer et lui redonna une forme olympique. Elle invita Alice à monter sur son homme. Alice mouillait tellement, qu'une fois son string retiré et sa jupe relevée, elle engloutit la verge d'Enzo. Appuyée sur les accoudoirs de la chaise, Alice présentait ses fesses à Mary. Celle-ci n'hésita pas un moment à glisser sa langue sur son œillet. Alice sentait son petit trou s'ouvrir et ses mouvements de va et vient faisaient peu à peu monter Enzo. Mais elle le voulait dans ses fesses. Elle se retourna et profitant de la situation, Mary alla chercher un gode ceinture. Alice sur Enzo, dans son petit trou dilaté par les caresses de Mary et le gode dans son sexe mouvé par Mary, ne tardèrent pas à la faire jouir. Enzo n'avait pas encore explosé, quand Alice se mit à crier de plaisirs. Alice se retira et Mary pompa la verge de son homme.
Le repas qui suivit fut des plus conviviales et des plus coquins. Ils prirent le café tous les trois nus sur la terrasse à profiter du soleil. C'est avec violence qu'Alice pris le chemin du retour.