Texte libre

 
Sky Doll, mon héroine de BD prérérée qui drague Astro Boy, mon héro tv japonais adoré !

Pour le plaisir

Jeudi 28 juillet 4 28 /07 /Juil 00:00

Je roulais depuis plus de trois jour, emmitouflée dans ce un vieux jean trop grand et dans mon gros pull préféré. Mes orifices me faisaient encore atrocement mal. Mes seins étaient encore lourds des douleurs passées. Eros désirait se dégourdir les pattes et c'est en passant prés d'une belle clairière que je m'arrêtais un instant. Plus question de s'éloigner de la voiture. Je croyais entendre un ruisseau au loin mais je me persuadais que c'était mon imagination afin de refreiner l'envie de m'y plonger. Quand Eros revient toute trempée, mon envie d'eau m'emporta. Eros me guidait vers cette oasis. Ma surprise fut bien nourrie quand je découvrais cette immense étendue. l'eau était d'une transparence affolante. J'enlevais mon pull, mes baskets et ce vieux jean. Au moment d'aller plus loin, j'hésité à enlever mes sous-vêtements. Mais je devais lutter contre la douleur. Une fois nue, je m’immergeai entièrement dans l'eau. La sensation de l'eau sur mon corps éloignée peu à peu mes douleurs. La caresse de l'eau entre mes cuisses était ce qu'il y avait de plus doux au monde. Mes fesses se raffermissaient à nouveau. Mes seins restaient cependant lourds. Je me mis à les masser avec l'eau pour les soulager et tenter d'apaiser les bleus encore bien présent.
Je me sentais sauvagement épiée quand une femme sortie des buissons. Elle était ravissante dans sa petite robe à fleur. Elle déposa un gros sac, se dévêtue et plongea dans l'eau comme si elle ne m'avait pas vue. Je me sentais troublée et sortie donc m'allonger pour me sécher au soleil. Je l'observais avec tendresse. La transparence de l'eau me permettait de détailler chaque parcelle de son corps. Chacun de ses mouvements étaient d'une grande souplesse et à voir ses jambes musclées, je ne doutais pas que c'était une grande sportive. Sa croupe était parfaitement dessinée. Telle une sirène, elle se mit sur le dos, me laissant admirer un sexe lisse et doux. De ses jambes, elle entamait des mouvements de brasses. Etait-ce une invitation ou tout simplement un moyen de rester à la surface ?

Eros me tournait autour pour me montrer son inquiétude. Je renfilais mon jean et mon pull puis pris le chemin du retour. Ce n'est qu'au niveau de la Lotus que j'entendis une voix de femme m'appeler. Eros montra les crocs mais je la calmais en lui caressant le flan. En effet cette femme courait après moi, en ayant juste pris le temps de remettre sa robe, la peau encore mouillé.

On sonnait à la porte. Alice sortait de sa lecture en même temps que de son bain. Elle enfila machinalement un peignoir et ouvrit la porte. C'était Gwen, son amie d'enfance, sa seule véritable amie. Son homme venait de la mettre à la porte. Chargée et en larme, elle s'excusa de débarquer à l'improviste. Alice l'aida à s'installer puis s'absenta le temps de se sécher et de passer une tunique. Habillée de la sorte, ni sa poitrine ni ses fesses étaient dissimulées. Ayant fait dans le passé plusieurs sauteries avec Gwen, elle n'éprouvait aucune gêne. Elles discutèrent de la situation pendant une bonne partie de la nuit. Gwen était soulagée par l'écoute que lui donnait Alice.
Elles finirent par aller se coucher dans le seul lit que possédait Alice. Ce n'était certes pas la première fois, mais en se remémorant les doux souvenirs érotiques, leur corps se mit à chauffer. Très vite elles se retrouvaient nues enlacées. Gwen caressait les fesses d'Alice, pendant qu'elle déposait de tendres baisers sur sa poitrine. Chaque geste s'engouffrait dans la mélodie du plaisir. A présent Alice passait sa langue sur le doux pubis de Gwen. Ses mouvements procuraient d'intenses spasmes à Gwen qui ne cessait de gémir. Au plaisir le plus intense, Gwen stoppa Alice afin de s'occuper d'elle à son tour. Alice était déjà bien humide quand Gwen introduit la langue dans sa large fente. Elle se dandinait et appuyait sur la tête de Gwen pour aller encore plus loin. Alice se leva brutalement et sortie du placard un double gode aux dimensions respectables. Assise l'une en face de l'autre, elles s'enfonçaient ce jouet de plaisirs. Les mouvements de va et vient se faisaient plus intenses. Elle ne pouvaient s'empêcher de crier et atteignaient l'orgasme en même temps.

Entre Gwen, le boulot et les rencards, Alice n'avait pas ouvert le livret depuis pas mal de jours. Ce soir, elle était libre et avait même pris le soin de mettre le téléphone sur répondeur. Elle s'installa dans la grande pièce et repris le livret.

Illustration proposée par Lanyo

Par Mateo - Publié dans : Pour le plaisir
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus