Elle désirait que je la pose au bourg le plus proche. Demandé avec tant de douceur, je ne pus refuser. On échangea quelques paroles et beaucoup de fous rires. Cette rencontre me fit beaucoup de bien. Et nous arrivâmes dans le petit village. Nous nous embrassions et elle descendit. Je passais de villages en villages et prenais un bol d'air en admirant les jolies maisons passer une à une. La froide réalité sortit de mes pensées ; j'allais manquer d'essence !
Je cherchais une station essence quand enfin je trouvais ce garage. Je m'arrêtais un peu plus loin afin de pouvoir me changer. Autant par manque d'argent que par envie de douceur, je me faisais à l'idée de séduire le propriétaire. J'enfilais string et soutiens gorge en dentelles puis une légère robe. Je fis demi tour et me garais près du garage. Sur une pancarte, on pouvait lire :
"Je reviens. Merci d'attendre !"
Un vieux sofa était installé à l'ombre. J'en pris possession. Au bout d'un moment, un bel homme arriva dans un super 4x4. Ma robe était remontée, dévoilant mes cuisses et pour provoquer encore plus, j'avais posé un pied sur le sofa. Je le fixais de mon regard le plus coquin. Il ne pourrait pas résister. Quand il fut à ma hauteur, il s'assit à mes côtés. Le charme agissait : face à mes yeux, son pantalon se tendait. Sentant mon excitation, il me fit me relever, baissa les bretelles de ma robe et s'agenouilla devant moi. Je sentais son souffle chaud sur ma fente et ses mains sur mes cuisses. Je saisis sa cuisse, défis sa ceinture, et dénudais sa tige raide et palpitante. Mon string était trempé mais je pris le temps de le branler lentement, frôlant son engin de mes lèvres pour faire monter son excitation. Enfin j'enfournais sa queue jusqu'au fond de ma gorge. Je le sucais avec gourmandise. Je modulais le rythme de mes va et vient pour le maintenir au bord de l'extase. Je gémissais au rythme de sa queue qui coulissait dans ma bouche.
Ma chatte trempée réclamait son dû. Il se coula entre mes jambes et se mit à explorer tous les recoins de mes cuisses d'une langue habile. Il saisit l'étoffe fine et la fit glisser jusqu'a mes chevilles, enfouissant son visage dans mon intimité brûlante. Sa langue de velours s'attardait autour de mon clitoris, encerclant le centre de mon plaisir. Ce plaisir augmentait à mesure que je me voyais chienne en train de me faire lécher par cet homme dont j'ignorais tout. Je me sentais lubrique et mon bassin se mouvait, animé d'une vie propre. Ce n'était plus sa bouche qui me prenait, c'était ma chatte gonflée, ruisselante qui lui léchait la langue à n'en plus pouvoir, comme affamée de désir, comme déchaînée. Les petits cris que je tentais de réfréner, devenaient des cris que je ne contenais plus. Mes mains se crispaient sur sa nuque, mes ongles s'enfonçaient dans son cou et mon ventre se tendait sur ses lèvres. L'orgasme qui m'a saisie a été si fort et soudain que j'ai eu l'impression de lui éjaculer au fond de la gorge.
Il me laissait pantelante, le corps encore animé de soubresauts.
Quand je repris mes esprits, il était en train de remplir la Lotus. Je remis ma robe froissée, le rejoignis et lui souris pleine de plaisir. Je lui roulais un dernier patin, lui glissais mon string dans le pantalon et repris la route en trombe ! Même si la voix de la raison me répétait sans cesse que j'étais une garce, je n'avais jamais pris autant de plaisir sans être pénétrée! Le plus violent de mes orgasmes.
Illustration proposée par Lanyo
