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Sky Doll, mon héroine de BD prérérée qui drague Astro Boy, mon héro tv japonais adoré !

Pour le plaisir

Mardi 26 juillet 2 26 /07 /Juil 00:00

Cela faisait déjà un bon moment que j’avais entrepris ce voyage. La société actuelle n’était pas pour moi. Trop stricte et sans saveur. J’avais donc tout claqué pour voyager. Ma Lotus était devenue ma demeure. Accompagnée d’Eros, ma chienne, je partais à la recherche de plaisirs. Mon premier pas vers la folie se passa sur l’autoroute. Au moment de doubler un gros camion, je m’aperçu que je n’avais pas de chemisier. Certes ça m’arrive souvent car j’adore m’exhiber. Ma mini jupe remontait beaucoup et le fait que je n’avais rien en dessous ne passa pas inaperçu aux yeux du camionneur. Ni une ni deux, avec un grand sourire, j’ai attrapé un des mes godes dans la boite à gant. Je me suis masturbée sous le regard halluciné du camionneur. Il m’a fait des appels de phares et je me suis garée sur la première aire d’autoroute. J’étais trempée et je gémissais en me pétrissant la poitrine. Cette zone se trouvait un peu à l’écart mais, visiblement, elle était connue des routiers. Lorsque mon camionneur s’est approché de mon véhicule, j’ai ouvert la porte et j’ai pris à pleine bouche cette belle queue qu’il me présentait. Pendant ce temps là, j’emplissais ma chatte avec mes doigts. Très vite, d’autres routiers sont arrivés et ont profité du spectacle. Certains se masturbaient, d’autres n’ont pas hésité à participer. Je sentais des mains courir sur tout mon corps. Je n’en pouvais plus. Puis l’un d’eux m’a prise par la main pour me conduire dans sa remorque. A l’intérieur, je ne savais plus qu’elle queue je suçais ou qui me pénétrait. Mon plaisir était immense. Je jouissais sous les coups de ces males en rut.
Lorsque ces hommes se sont retirés, j’étais couverte de sperme. Je récupérais ma jupe et regagnais nue ma voiture. Dans le coffre traînait une bouteille d’eau. Je me rinçais sensuellement le corps, tout en repensant à ce pur moment de plaisir. En me voyant ainsi, mouillée, les camionneurs se reéxitaient. Mais je ne leur laissai pas le temps de s’approcher à nouveau. Je repris le volant en les saluant de la main.



Alice n’en revenait pas. Comment sa sœur avait pu vivre ça. Elle si prude et tellement rangée dans les conventions. Certes dés les premières sorties autorisées par le patriarche, elle avait bien vu que les hommes couraient plus après sa sœur qu’après elle. Sa silhouette fine et élancée, ses courbes sur mesures, sa chute de reins vues comme la demeure de toutes les tentations, sa poitrine ferme et généreuse faisaient chavirer beaucoup de prétendants pour peu qu’un sourire éblouissait son visage. Mais de là à se taper un gang bang parmi des routiers ! Alice perdue dans ses pensées et encore sous le choc, ne remarqua qu’en cherchant son paquet de blondes que du monde était arrivé. Deux hommes et une femme se dorés la pilule. Elle se grilla sa cigarette et les observa tour à tour. Le plus éloigné des deux hommes se portait à merveille. Corps athlétique, muscles apparents, fesses bien galbées que même le boxer ne pouvait cacher. L’autre homme paraissait plus jeune mais pas pour autant plus timide. Sa chemise entrouverte laissait apparaître un torse juvénile mais Alice se perdit sur ces jambes : musclées à en perdre la raison. Elle croisa son regard qui fixait sa poitrine avec envies. La jeune femme avait déjà une grande classe même dans ce maillot deux fois trop petit. Alice avait décidé de provoquer, surtout après la lecture du récit de sa sœur. Elle sortie à nouveau l’huile et entama une danse des mains des plus érotiques sur son corps. Les deux hommes n’en perdaient pas une miette et leurs tenues de bronzette devenaient étroites au niveau des cuisses. Alice ne comptait pas en finir là. Elle se retourna vers la jeune femme et lui demanda si elle pouvait lui passer de l’huile sur le dos. Celle-ci s’exécuta avec un léger sourire coquin. Les deux hommes étaient verts de rage mais à présent c’était Alice qui n’en perdait pas une miette. Les mains de la jeune femme lui caressaient le dos de manière appliquée. Visiblement elle hésitait à descendre plus bas. Alice tourna la tête pour l’inviter à huiler ses fesses sans gêne. Les mains se firent plus légères et plus expertes. Le jeune homme avait à présent une belle érection indssimulable. Alice remercia gentiment la jeune femme qui s’approcha pour lui dire au creux de l’oreille qu’elle mouillait comme une chienne ! Alice en profita pour lui voler un fougueux baiser. Cependant, elle ajouta qu’elle devait finir un bouquin intéressant.

Illustration proposée par Cat

Par Mateo - Publié dans : Pour le plaisir
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