Prenons du bon temps...

Il m’arrivait souvent de sortir des sentiers battus pour suivre des routes plus désertes. Dés qu’une foret ou une prairie me charmées, j’hésitais pas à m’y reposer un moment. Toujours accompagnée d’Eros, je parcourais des kilomètres à pied. C’est sur un de ces chemins que j’ai entrepris de rédiger cette quête. Ce jour là, je marchais pieds nus dans l’herbe fraîche. Sensation enivrante mêlée à la douce brise qui venait caresser mes cuisses. Je portais cette belle robe Guccy offerte par ma sœur. Je me suis adossée à un platane. Son tronc était énorme et parsemer de rainures. Perdue dans mes pensées lubriques, je m’allongea entièrement nue dans l’herbe. Cette tendre et chaude osmose avec la nature m’apaisa un moment. Eros surveillait les alentours et me rassurait. C’est donc dans cette ambiance calme qu’une folle envie de me caresser me pris par surprise. Mes mains brûlaient d’impatience. Je ne put les retenir bien longtemps. Elles se posèrent sur mes seins déjà bien érigés. Je me caressais tendrement la poitrine afin de faire monter le plaisir. Tout doucement, je parcourais le dessin de mes auréoles. Le plaisir était intense. Une brise chaude et humide effleura mes cuisses pour se calfeutrer dans mon minou. Mes mains descendaient lentement mais sûrement vers mon bas ventre. Mes doigts effleuraient puis titillaient mon clito. Je passais encore un moment à caresser ma chatte puis, tout en écartant un peu plus mes cuisses, je m’introduis un doigt. La sensation de liberté se mêlait à celle d’être aperçue. Très vite, c’est trois doigts qui à présent me fouillaient le vagin. De mon autre main, je me massais mon petit œillet, endroit encore pur et vierge. Je n’avais encore jamais osée offrir mes fesses. Les images les plus hard me passaient à l’esprit. Je commençais à gémir de plus en plus fort et prise par mes doigts, je finie par jouir intensément. Je restais encore un moment ainsi allongée tout en suçant mes doigts afin de récupérer ce nectar de plaisirs. Je n'avais pas vue le temps passer et il était trop tard pour retourner jusqu'a mon véhicule. En jetant un rapide coup d'oeil, j'aperçu une bergerie. J'indiquais à Eros de retourner à la voiture, enfilais ma robe et pris la direction du refuge pour la nuit. En arrivant à destination, je me persuadais que la bergerie serait abandonnée. Les portes claquées à cause du vent qui se levait. Cependant à l'intérieur la paille semblait fraîchement stockée. Je m'installais au fond, à l'abri de tout. Chaque bruit me faisait sursauter. La nuit était bien installée, quand emmitouflée dans mon anorak, des bruits de pas résonnèrent. Plus ils s'approchaient et plus je m'enfonçais dans la peur. Quand une ombre surgit de nul part m'attrapa et me souleva avec violence. C'était un homme d'une force et d'une masse imposante. Cependant ses yeux bleus lui donnaient un visage d'ange. Il me portait si haut que mes pieds ne touchant plus le sol, il m'était futile de me débattre! Il me secoua comme une poupée de chiffon et me jeta violemment et dans la paille, qui me permit de garder mes esprits. L'homme se jeta alors sur moi et déchira anorak et robe, me retrouvant nue devant ses yeux devenus noirs. Tout en me tenant par les cheveux, il baissa son pantalon et me laissa découvrir une queue énorme et démesurée. J'allais me faire violer par un de mes fantasmes. Il me forçait à le sucer tout en appuyant sur ma tête. Les premiers coups me déchiraient la gorge mais je dois l'avouer, au bout d'un moment la situation m'excitait. L'homme s'en aperçu et pris de rage, il attrapa mes cuisses et me pénétra avec violence. Mon sexe me brûlait du mal que ces terribles va et vient me procuraient. Paradoxalement, mon clito était plus qu'excitait. L'homme s'était couché sur moi et il me bouffait les seins sans aucune retenue. Il jouie enfin et se déchargea sur mon corps meurtri. Je ne pensais qu'à m'enfuir. Mais l'homme n'en avait pas fini avec moi. Il me retourna sur le ventre comme une vulgaire crêpe. J'allais me faire défoncer par derrière. Au contact de la paille ma chatte me brûlait encore plus. Et puis je sentis sa verge pénétrait mon si doux oeillet. Malgré sa petite ouverture, mon trou ne put résister à l'assaut de cette brute. Je criais de souffrance, sans pouvoir déstabiliser mon violeur. Il se déchargea à nouveau dans mes fesses. Je ne pouvais plus bouger et restais en attente d'un nouvel assaut. L'homme partie et me laissa ainsi, les larmes coulant sur mon visage. Je perdis connaissance.

Je fus réveillée par Eros, venue car inquiète de mon absence. Je ne savais pas depuis combien de temps j'étais là. Mes seins, ma chatte, mes fesses, mon corps entier me brûlait. Laissant les morceaux de tissus qu'il restait de mes affaires, c'est nue que je regagnais ma voiture...

Alice était sous le choc. Elle venait d'assister au viol de sa soeur. C'était comme si elle y était sans avoir pu faire quelque chose. Elle se grilla une clope et des larmes coulèrent de ses beaux yeux verts. Il ne restait prés d'elle que la jeune femme qui à présent bronzée les seins nus. La chaleur du soleil était toujours là mais Alice avait froid de ce qu'elle venait de lire. La jeune femme s'approcha et, sans un regard, Alice se blottie dans ses bras. Au bout d'un moment, elle lui proposa de prendre un verre. Une fois revêtues, elles se dirigeaient vers le café le plus proche. Elles s'échangèrent des banalités mais Alice n'était pas là. A la fin du deuxième cocktail, elle prit congé et rentra dans son loft en pleine ville. Elle s'arrêta devant cette photo où elle pose avec sa soeur. Tendre souvenir de vacances. Elle se mit nue et alla se faire couler un bain. Elle prit le livret et s'installa dans cette mousse douce et apaisante.

Illustration proposée par Lanyo

Mer 27 jui 2005 4 commentaires
je reviendrais lire plus tard

bisouilles
Lord - le 28/07/2005 à 09h34

j'ai oublié de te dire...........

si elle ne porte que la robe que sa soeur lui a offerte tu pux me dire comment dans la bergerie elle peut avoir un anorak....ben voilà...c'est que je le mets pendant que j'y pense...
petite incohérence...lol

bisouilles mat'

Et la place de l'imagination, bordel! lol

Lord - le 29/07/2005 à 00h22

ben voilà la fille qui lâche rien....lol

il ne faut pas que tu dises
"je ne portais que cette robe"...c'est là que se produit l'incohérence...
tu mets "je portais cette robe"...le que est restrictif...donc après même si beaucoup d'imagination...ben je me demande ce que l'anorak fait là...lol

voilà ... c'est tout..

je sais je suis chiante ..je sors....

ps : comprends pas ..impossible d'accéder à l'autre site...  toujours inacessible! snif!

bisouilles

Correction faites..... Tu avais pas tord !

Bizzzzz !

Lord - le 30/07/2005 à 09h52
jai bien bandé moi ! lol
seb - le 01/10/2005 à 10h34