Texte libre

 
Sky Doll, mon héroine de BD prérérée qui drague Astro Boy, mon héro tv japonais adoré !

Moi par moi...

Mardi 18 janvier 2 18 /01 /Jan 00:00
En cette fin d'hiver, le crépuscule s'annonçait triste à Paris, alors que seul, je déambulais sur les quais du Palais de Justice vers le Musée d'Orsay. Je venais de plaider une affaire et fait exceptionnel, d'autres obligations parisiennes m'attendaient le lendemain, de telle sorte que je devais y passer la nuit.

     Mon client avait fait preuve de générosité et je logeais dans un hôtel chic, avec une vue originale dont je parlerais plus avant.

     Je méditais en marchant, lorsque mon regard aperçut, brillante, illuminée, la grande Roue de la Place de la Concorde, installée depuis plusieurs mois pour l'an 2000.

     Poursuivant ma promenade solitaire, je me rapprochais de plus en plus de cette Grande Roue et, arrivé place de la Concorde, je me décidais à prendre ma place dans la file d'attente. J'achetais mon billet et attendis l'arrêt de la Roue pour prendre une nacelle. Il y avait beaucoup de jeunes et juste devant moi une femme monta. Je la suivis aussitôt et une bande de 3 ou 4 jeunes, nous voyant installés, refluèrent pour prendre la nacelle suivante, de telle sorte que je me retrouvais seul avec cette inconnue assise en face de moi, dans cette nacelle grillagée.

     Elle était brune, les cheveux droits et souples mais assez courts, des yeux noisette, une bouche sensuelle aux lèvres pulpeuses, environ 35 ans. Elle portait un imperméable vert bouteille au col relevé, de jolies chaussures avec talon.

     La Roue commença à tourner. La vue était réellement splendide. Les monuments illuminés de Paris, les flots jaune et rouge des voitures sur les Champs...Nous tournions lentement, au rythme de la Roue.

     Nos regards embrassaient la ville et se rencontrèrent, souriants, émerveillés comme des gamins. Je lui rendis son sourire. Elle bougeait de gauche et droit, regardant autour d'elle. Son imperméable était ouvert et je voyais ses jambes voilées de noir avec sa jupe de tailleur qui remontait progressivement, à mesure qu'elle se tournait d'un côté ou de l'autre..

     - Vous connaissez Paris ? me demanda-t-elle.
     - Un peu, lui dis-je, j'y viens assez souvent... Sur ma réponse, elle me montra un dôme éclairé. Ce monument, vous le connaissez ?.
     - C'est la coupole des Invalides, je lui répondis...
     - Ho bien sur et euh, de l'autre côté une église plus au loin ? elle me montrait la direction de sa main.
     - C'est le Sacré-Cœur, la butte Montmartre...
     - Bien sûr, répondit-elle, je suis idiote... Un silence... La vue est vraiment magnifique, vous ne trouvez pas ?
     - Oui, je lui répondis-je dirais même excitante
     - Ho, excitante n'est pas le mot, me répondit-elle...
     - Pour moi, si rétorquais-je en souriant, mon regard vers ses jambes découvertes.

     Elle baissa les yeux et se rendit compte de mon allusion. Sa jupe avait bien remonté, à force de contorsions pour admirer la vue de chaque côté, et on voyait la lisière de ses bas noirs.

     - Ho...
     - Ne bougez pas...C'est extrêmement joli. Vous avez des jambes superbes...

     Je me levai de mon siège et vint m'accroupir devant elle dans la nacelle, posant ma main sur une de ses cuisses, la caressant un peu puis passant sous le tissu de sa jupe, ma main faisant crisser le voile de ses jolis bas Chantal Thomass...

     - Mais que faites-vous ? Vous êtes fou ! On va nous voir ! Ca va pas la tête ? Je n'échappais à aucune des observations que l'on entend des honnêtes femmes en pareille circonstance, mais qui finalement en font peu pour que cela cesse...

     La chance vint à mon secours, car notre nacelle s'immobilisa tout en haut de la roue.

     A genoux devant ses jambes, je les lui caressais doucement, remontant de plus en plus haut. Elle ne réagissait pas. Tout au plus avait-elle lancé quelques regards pour se rendre compte si on pouvait nous voir des autres nacelles. Mais ce n'était pas le cas.

     Ma main atteignait ses cuisses nues en haut des bas...

     Elle ne fermait pas ses cuisses, et ma main toucha bientôt sa fine culotte de dentelle. Je commençais à la caresser doucement, avec un doigt puis deux à travers son slip.

     - Oh non, mais arrêtez dit-elle sans grande conviction, d'autant qu'elle écarta un peu plus les jambes, ce qui me permit d'approcher ma tête et de poser ma bouche entre ses cuisses. Je léchais sa culotte, humait la fragrance de son intimité. Je la sentais regarder de droite et de gauche, tout en avançant son bassin.

     Je passais alors un doigt sous l'élastique de sa culotte, touchant les lèvres lisses de son sexe épilé. Après quelques caresses digitales, j'écartais sa culotte, découvrant sa chatte humide sur laquelle je plaquais ma bouche.

     La nacelle n'avait pas bougé ; nous étions toujours en haut. Je passais ma langue sur son abricot, excitait son clitoris débusqué et tendu. Elle émettait quelques gémissements. Je goûtais sa mouille abondante et m'en délectais. Je suçais avidement cette moule odorante et suintante de désir, au goût vraiment délicieux, buvant, mangeant, broutant.

     Je ne tardais pas à mettre un doigt puis deux dans son fourreau mouillé, tout en suçant son bouton turgescent, aspirant ses lèvres intimes, enfonçant ma langue gourmande, bref dévorant cette chatte offerte au désir.

     La situation insolite manifestement, décuplait son excitation et alors que la nacelle se remettait en branle, si j'ose dire, elle serra les cuisses contre ma tête, gémissant son plaisir et sa jouissance.

     Je me relevai, la bouche et les lèvres luisantes de son jus alors qu'elle rabaissait sa jupe, me regardant en coin, puis jetant un regard sur ma braguette tendue.

     Elle me sourit et me dit simplement "merci", lorsque la nacelle s'arrêta et que nous sortions sur le parvis. Je ne la lâchais pas. Elle-même demeurait près de moi.

     Elle restait là, probablement encore un peu dans les nuages, et me dit "Vous êtes tout barbouillé de.. moi". Et justement, je n'avais plus de mouchoir de papier. Elle m'en tendis un, et je m'essuyais un peu la bouche et le nez. Tout en marchant, nous nous aperçûmes être entrés dans le jardin des Tuileries. J'approchai du premier bassin et trempa son mouchoir dans l'eau pour me débarbouiller. Elle était là et souriait.

     - Je m'appelle Fabienne m'indiqua-t-elle... et euh c'était super.. bref j'ai aimé, vous faites çà bien...
     - On marche un peu ? lui demandais-je, en montrant les allées boisées du Jardin, éclairées des lumières de la Roue.
     - Si vous voulez...

     C'est ainsi que nous fîmes un peu connaissance en marchant, et qu'elle m'apprit qu'elle travaillait dans la banque, qu'elle était en stage sur Paris pendant trois jours, qu'elle terminait demain, qu'elle venait de Limoges, qu'elle était mariée...

     Tout en parcourant lentement les allées, je lui pris la main, qu'elle ne refusa pas.

     - Alors, vous êtes libre pour dîner ?
     - Oh, non, je ne sais pas.
     - Voulez-vous dire que nous ne sommes pas assez intimes ?

     Elle sourit et m'arrêtant, je l'attirais contre moi. Nos bouches se joignirent. Elle ouvrit les lèvres et nos langues se mêlèrent dans un baiser de plus en plus humide. Elle ne pouvait pas ne pas sentir ma queue dure contre son ventre...

     Discrètement, protégée par son imper, elle passa sa main entre nous et serra mon sexe à travers la braguette puis descendis soupeser le reste.

     - Vous m'avez donné envie...avoua-t-elle.
     - Et moi donc, je dis en souriant...
     - Oui, je sens çà. Vous léchez souvent des femmes mariées sur les manèges ?
     - Non, c'est bien la première fois...Alors, pour ce dîner ?
     - ...Bon, allons-y, d'accord...
     - Vous êtes à l'Hôtel ?
     - Oui, près de l'Eglise Saint-Germain.. Et vous ?
     - Moi aussi, un grand hôtel place du Palais Royal., face au Louvre.

     Lui tenant toujours la main, je pris mon portable pour réserver une excellente table bien connue proche du quai Voltaire. Par chance, il restait de la place.

     Nous continuâmes notre promenade, longeant le bord de Seine, jusqu'au Pont Neuf, passant devant les bouquinistes qui fermaient leur échoppe, devisant sur nos vies respectives et le hasard des rencontres.

     Naturellement nous ponctuions notre marche de baisers de plus en plus humides. Fabienne se collait à moi, frottant son ventre sur ma braguette.

     - Hum, vous bandez toujours, me dit elle...

     Le temps passait vite et, revenant quelque peu sur nos pas, nous atteignîmes notre restaurant dont le décor moyenâgeux, armures et même ceintures de chasteté firent l'admiration de Fabienne.

     Installés dans un coin discret, face à face autour d'une table ronde à longue nappe, nous dînâmes avec appétit, notre conversation dérivant progressivement sur le sexe.

     Le prélude de la Grande Roue avait en quelque sorte placée Fabienne sur orbite. J'appris ainsi que son mari était peu aventureux en la matière et qu'il manquait singulièrement de fantaisie, avec une nette tendance à l'espacement des rapports et à la réduction de leur durée, ce qui laissait Fabienne sur sa faim sexuelle. Elle avoua facilement qu'elle se masturbait quasiment chaque jour mais je ne pus obtenir qu'elle me livre ses fantasmes secrets.

     Parfois ma main glissait sous la nappe pour caresser doucement ses cuisses, parfois je touchais sa poitrine, défaisant son chemisier d'un puis deux boutons, admirant le sillon prometteur de ses seins lourds.

     - Je fais du 90C me précisa-t-elle, vous aimez ?
     - Oui beaucoup, j'aime les gros seins, çà ouvre beaucoup de possibilités érotiques...
     - Ah oui ? lesquelles ?
     - Je vous montrerai...
     - Quand ?
     - Ce soir ? On passe à votre hôtel, vous prenez ce qu'il vous faut et on va dans ma chambre. On a juste la Seine à traverser... Je vous promets une surprise...
     - Oh, je vois bien laquelle..
     - Non, non, une autre, une vue magnifique...vous apprécierez...
     - Vous croyez que je vais venir ?
     - Vous être en dette avec moi, non ?

     Elle ne répondit pas, réfléchissant à la proposition. Lorsque je vis son regard espiègle et son sourire, je sus qu'elle allait effectivement venir avec moi d'une part payer sa dette et d'autre part expérimenter quelques fantasmes.

     - Vous êtes coquin, n'est ce pas Chris ?
     - Très...
     - J'ai remarqué...
     - Vous aussi vous êtes très sensuelle et je parie une belle cochonne..
     - Oh..
     - Je parie avec vous, vous dis-je...
     - Je ne me reconnais pas, moi qui suis si réservée en matière de sexe... Vous devez me prendre pour une traînée.
     - Mais non, laissez-vous aller Fabienne. Soyez une femme. Profitez en. Libérez vous de vos habitudes, de vos retenues. Exprimez naturellement votre sensualité, votre volupté, votre désir, ...

     Nous arrivions au dessert. Je vis son bras sous la table...

     - J'aimerais que vous vous caressiez Fabienne, je lui dis brusquement au détour d'une conversation anodine, remontez votre jupe, glissez la main dans votre culotte et masturbez vous.
     - Vous êtes fou, pas ici, voyons..
     - Pourquoi ? personne ne vous voit... C'est coquin çà... Et vous me ferez sucer vos doigts. Vous savez, j'ai vraiment apprécié le goût de votre chatte. C'est génial avec un bon dessert.

     Elle me regardait dans les yeux, le regard allumé. Je voyais son bras bouger imperceptiblement

     - Vous savez, Fabienne ,que vous me faites bander à vous branler sous la nappe.
     - Ohh, cochon. Arrêtez..
     - C'est bon ?
     - Oui, ohh, avec vous j'ai envie d'être perverse. Oui, je me branle et je.. mouille. Vous voulez goûter ?
     - Oui, faites moi sucer votre doigt.

     Elle me tendit deux doigts humides de sa cyprine, que je léchais avec délectation..

     - A quoi pensez-vous ? Allez dites moi, sans détour...
     - Je pense à votre.. sexe qui bande Chris.
     - Vous le voyez comment, ? vous l'avez senti avec votre main tout à l'heure..
     - Ohh, gros je crois..
     - Vous aimez les grosses queues ?
     - Oui.

     La serveuse vint nous apporter le dessert et je dus interrompre cet interrogatoire qui apparaissait prometteur sur les goûts de Fabienne en matière de queues. Je lui demandais immédiatement l'addition, je payais et la serveuse nous gratifia d'un "bonne fin de soirée" complice...

     Nous quittâmes rapidement cet excellent restaurant, nous dirigeant vers son hôtel. Je tenais Fabienne par la taille, le bras passé sous son imper, ma main posée sur ses fesses.

     Nous fîmes plusieurs arrêts pour nos embrasser et nous rouler des patins de plus en plus chauds et humides. A chaque fois, elle se collait à moi, pressant son pubis sur ma bosse. Puis, de sa main, elle me serrait la queue à travers mon pantalon..

     - Oh, Chris vous me faites envie.. elle a l'air grosse votre queue.

     Quelques mètres après, c'est moi qui glissait une main dans son corsage, et même jusque dans son soutien gorge, pour caresser et exciter la pointe déjà dure de ses beaux seins.

     Je le sentais de plus en plus libérée, l'excellent bourgogne y étais aussi pour quelque chose.

     Nous arrivâmes à son hôtel.

     - Je vous attends, prenez ce dont vous avez besoin...

     En patientant, je me disais : et si elle ne revenait pas ? Non, sûrement pas, elle est bien allumée et elle a envie. Mais elle va penser à son mari, etc.. J'aurais du monter avec elle...

     Mais elle me rassura car, quelques minutes à peine, je la vis redescendre, souriante et complice.

     Nous prîmes le chemin de mon hôtel, continuant nos agaceries érotiques, dans un état d'excitation croissant dangereusement, nous tenant la main à travers les ruelles du quartier. Ses talons résonnaient sur le pavé luisant après l'averse.

     Nous débouchâmes sur les quais, longeant la Seine au flot sombre et inquiétant. Sur le pont Royal, nous nous arrêtâmes dans un renfoncement du parapet pour nous rouler un nouveau patin, nos langues sorties, nous pelotant comme des collégiens. Je lui glissais ma main sous la jupe et de son côté elle baissait le zip de ma braguette, caressant ma queue par dessus mon slip tendu par ma bandaison.

     Pour la première fois de la soirée, je la tutoyais...

     - Tu aimes çà dis moi, une grosse bite comme çà, coquine.
     - Oui, j'aime... j'en ai envie...
     - Viens pressons-nous.

     Nous traversâmes de nouveau la Seine, apercevant la Grande Roue qui tournait toujours...

     - Regarde...

     Elle sourit. - En tout cas, çà restera un bon souvenir.
     - Quoi ? le paysage ou ma bouche sur ta chatte ?
     - oh, tu sais bien...
     - La vue sur Paris ?
     - Mais non, ta bouche. Tu m'a bien léchée, divinement même j'étais si excitée j'ai joui vite.

     J'étais satisfait en moi-même de constater qu'elle n'hésitait plus à évoquer ses désirs et sensations intimes et sexuels.

     C'est alors que nous entrâmes dans mon hôtel...

     - Oh, mais c'est un palace... dit-elle.
     - Oui, c'est pas mal, viens.

     Je l'entraînais vers l'ascenseur...J'appuyais sur le 5.

     - Tu as une suite ?
     - Non pas quand même, mon client est à l'aise et pas regardant mais pas jusqu'à offrir çà à son avocat..

     Je mis ma carte électronique dans la serrure Fabienne découvrit la chambre, spacieuse et tout de suite l'immense lit de plus de 2 mètres de large comme il y en a dans les grands hôtels.

     - Cà, c'est la salle de bains...
     - Waaaooohh. C'était çà la surprise ?
     - Euh oui.

     Elle découvrait la salle de bains, presque aussi grande que la chambre et surtout la baignoire ronde à deux places avec la vue directe et superbe sur l'avenue de l'Opéra jusqu'au Palais Garnier.

     - C'est super...
     - Cà me donne envie d'en profiter tout de suite...
     - Tu crois ? je lui demandais, m'approchant d'elle.
     - Non, tout à l'heure, eut-elle le temps de dire avant d'écraser ses lèvres sur les miennes.

     Nous retournâmes dans la chambre. Debout l'un face à l'autre, nous nous regardâmes les yeux pleins d'un désir réciproque. Je lui retirais son imper et sa veste de tailleur, la coquine s'attaquait de suite à ma braguette, affamée.

     - Ohh, gourmande...
     - Donne la moi, j'ai envie de la voir enfin.

     Nous basculâmes sur le lit, nos mains nous déshabillant. En un clin d'œil, je me retrouvai nu, et Fabienne en dessous. Elle retira son soutien-gorge et sa culotte.

     - Garde tes bas, j'aime c'est plus excitant, je lui dis.
     - Oui, Chris donne-moi ta belle queue...

     Fabienne prit en main ma bite et commença à me masturber puis me sucer. Elle caressait aussi mes couilles. Je sentais sa bouche chaude et moelleuse qui me pompait.

     - Oui, Fabienne tu suces bien... Continue, c'est bon. Elle est bonne ta bouche. Salives bien dessus...Attends j'ai envie que tu me lèches le cul. Tu le fais à ton homme ?

     - Oh, non. Mais je veux te le faire.
     - Alors vas-y.

     Je me mis à quatre pattes sur le lit. Fabienne vint derrière moi et tout en caressait mon gourdin et mes couilles se mit à lécher mes fesses, ma raie, mon anus. Je sentais sa langue gourmande et coquine frétiller sur mon petit trou. Puis son ongle prit le relais.

     - Tu veux que je te mette un doigt dans le cul ?
     - Oui, fais le je lui répondis. Mouille ton doigt avec ton jus et salive bien sur mon cul.

     Fabienne était de plus en plus déchaînée et prête à tout. Je sentais son doigt dans mon cul. Puis elle en mit un second, tout en suçant mes couilles. Elle vit que je me branlais la queue en même temps.

     - Ohh, c'est drôlement cochon çà. J'aime. Tu es vicieux. Tu aimes, çà cochon, mes doigts dans ton cul.. çà te fait encore plus bander hein...
     - Oui, Fabienne, chérie, tu vas me faire jouir j'ai envie de gicler sur tes nichons...

     Je ne pouvais plus me retenir. Je sentais ma sève monter et j'aillais exploser de plaisir.

     - Ouiii, je veux ton sperme, ton foutre, vas-y, donne moi ta purée Chris. Gicles sur mes gros seins. Cà t'excite de jouir sur mes nibards? Vas-y donne moi ton jus, cochon...

     Ainsi traité, je ne résistais pas longtemps ; Fabienne me branlait la pine tournée vers ses seins et bientôt je lui lâchais plusieurs jets de foutre épais, qu'elle répandait sur ses tétons pour partie et de l'autre en ramassait avec son doigt pour le goûter.. Humm, c'est bon, disait-elle me roulant un patin au goût de sperme..

     - Tu aimes ton foutre ?
     - Oui, j'aime.
     - A moi maintenant, je vais te lécher, j'ai envie, comme tout à l'heure dans la Grande Roue. Mets-toi à quatre pattes.

     Elle prit de suite la position, et je vins par derrière lui caresser les fesses, léchant sa raie, en la branlant d'un doigt, puis ma bouche et ma langue la léchèrent de haut en bas, depuis son clitoris excité jusqu'à son anus palpitant de désir, mais que je voyais bien serré.

     Elle ne tarda pas à jouir une nouvelle fois sous ma langue coquine, feulant son plaisir.

     - Viens, maintenant, baises-moi. J'ai envie de me faire ramoner par ta grosse pine Chris.

     Je ne pouvais évidemment résister à une telle invitation.

     - Je vais te prendre en levrette, tu aimes ?
     - Je ne sais pas trop, mon mari ne le fait jamais, mais vas-y, avec toi, je veux tout faire...
     - Oui, tu vas aimer. Je vint derrière elle et n'eut aucune peine à enfiler mon chibre tendu entre ses cuisses, dans son con trempé.

     - J'ai envie d'être cochonne avec toi tu sais. Demande-moi de faire des choses, je préfère, sinon je n'oserai pas et puis, Chris, s'il te plait, traite toi de tous les noms, insultes-moi. Dis moi que je suis une cochonne.
     - Fabienne, tu es une vicieuse, tu sais.
     - Oui, je suis une cochonne, ta salope dis moi.
     - Tu es une grosse salope oui, Fabienne, ma pétasse jouisseuse. Tu aimes çà te faire mettre par ma grosse bite, dis le.
     - Oui, j'aime çà, me faire fourrer comme çà c'est bon.

     Je la limai bien à fond. Elle gémissait de plaisir, la bouche sur l'oreiller étouffant ses cris de plaisir lorsque le lui défonçais sa chatte...

     Elle avait orgasme sur orgasme. J'admirais son joli cul ferme et rond, que je caressai en la besognant, agaçant sa rosette de mon doigt.

     - Je vais aller dans ton cul Fabienne, te sodomiser. Tu veux ?
     - Je ne sais pas
     - Tu n'a pas envie ?
     - Si, j'ai envie mais j'ai peur, je ne l'ai jamais fait.
     - Tu aimeras
     - Tu crois ?
     - Tu es sensuelle, tu as envie, çà va aller tout seul... Donne moi ton cul Fabienne...
     - Oui, vas-y, encules moi Chris

     Je pris alors de la mouille de sa chatte, puis de la salive et doucement, léchant son anus, je lui enfonçais progressivement un doigt, qui coulissait de mieux en mieux dans son cul qu'elle tendait vers moi. Je lui mis un deuxième doigt, sentant ses muscles s'assouplir.

     - Comment veux-tu que je t'encules, Fabienne? Tu te mets en levrette ou tu viens sur moi t'emmancher toi-même, face à la glace par exemple...

     - Comme tu veux répondait-elle.
     - Bon, on va commencer en levrette.. Ne bouges pas. Je viens derrière elle, et posai mon gland sur sa rosette lubrifiée et palpitante de désir. Je poussai.

     - Ho je sens, c'est gros gémissait-elle.
     - Oui, je vais m'enfoncer, vas-y pousse Fabienne, çà va glisser tout seul. Je sentis son anus se relâcher pour laisser passer mon gland. Je lui mettais de la salive.

     Ma queue était maintenant entrée. Je commençais à bouger doucement.

     - Ohhh, c'est gros dans moi, je te sens. Doucement...

     Elle-même faisait de petits mouvements pour absorber totalement ma queue.

     - Oui, comme çà, oh qu'est ce que çà me rempli, c'est super, je n'imaginais pas.
     - Caresses toi en même temps, je lui disais allant et venant entre ses fesses offertes.
     - Ohh, c'est bon de se faire enculer comme çà, je ne savais pas que çà pouvais être bon. Tu es doux et en même temps je sens bien ta grosse bite tout entière dans moi. J'ai envie de me voir dans la glace être enculée... en plus j'aime le dire, je suis une enculée. J'ai la grosse queue d'un mec dans le cul.. c'est bon...

     - Attends on va se retourner.. tu es prête ?
     - Oui vas -y...

     Basculant sur le côté, je me retrouvais sur le dos, avec Fabienne sur mon ventre, emmanchée sur ma queue face au grand miroir de la chambre. Elle se voyait cuisses écartées avec ses bas, sa main posée sur sa chatte, à se branler comme une salope pressant mes couilles à l'occasion, et surtout elle voyait ma grosse queue dans son cul, allant et venant entre ses fesses.

     - Oh, çà m'excite comme çà, je vais jouir encore hoo oui...Elle bougeait sur ma bite, me l'aspirait dans elle, serrant ma hampe, qui ne put résister non plus très longtemps, si bien que je giclais dans son anus, pour la seconde fois dans la demi-heure, elle-même criant son plaisir...

     - Oh. Oui Fabienne c'est bon, tu as aimé..
     - Oui, je ne suis plus vierge du cul grâce à toi et à ta belle bite Chris. Elle regardait le liquide blanc s'écouler de son anus palpitant se le caressant d'un doigt... Je me levais pour prendre une demi-bouteille de champagne dans le mini-bar et lui tendis une coupe. Nous trinquâmes au sexe et ses plaisirs.

     - Si on allait dans la baignoire dit-elle après que nous ayons savouré quelques minutes ces délicieux plaisirs ?
     - Oui allons-y...

     Fabienne, toute engluée de son jus et de mon sperme, retira ses bas et nous allâmes dans la salle de bain, faisant couler de l'eau chaude dans la grande baignoire avec vue.

     - J'ai un fantasme, Fabienne, que je voudrais réaliser avec toi.
     - Oui, quoi ?
     - J'ai envie qu'on se fasse pipi dessus..
     - Oh, c'est très cochon çà...dit-elle en me regardant, la mine sévère. Mais je veux bien..
     - Alors, commence...

     Je me mis quasiment allongé dans la baignoire. Viens Fabienne, vas-y, fais pipi sur moi.

     Fabienne se mit accroupie et écartant les lèvres de sa chatte, s'approchant de moi, commença à uriner.

     - En plus, j'avais envie dit-elle, lâchant plusieurs jets dorés sur ma poitrine, puis sur mon visage. J'ouvrais la bouche pour en boire en peu. Elle me regardais recracher son pipi, le liquide s'échappant de ma bouche remplie. Je me masturbais en même temps.

     - Cochon, tu aimes que je te pisse dessus comme çà. Oh, oui, tu m'excites, tu vas me le faire aussi...
     - Oui, à moi, tiens mets toi à genoux dans la baignoire.

     Je me levais et debout, fis pipi sur les le ventre, les seins de Fabienne, qu'elle se tripotait sous mon jet. Elle prit ma queue pour la diriger vers son visage. Mon urine éclaboussait son visage. Elle souriant la coquine, happant les dernières gouttes de sa langue curieuse.

     Une bonne douche nous calma et nous regagnâmes le lit, témoin de nos turpitudes, qui nous attendait.. Nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre, repus de plaisirs.

Par mateo - Publié dans : Moi par moi...
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus